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Opération: Dessine-moi un Shadok.
Puis après avoir abordé le cercle, créons dès à présent une ligne. Et comme rien n'est trop beau pour vous (les fadas qui lisent ce texte depuis le début, alors que cela ne sert à rien), Nous allons en faire deux. Mais ce n'est pas à n'importe quel prix, il va falloir les tracer symétriquement et en pointe (les gogols du cercle ont exceptionnellement le droit d'être aidés.).
Mais,
me direz vous, qu'est ce qui prouve que ça va bel et bien me
donner un Shadock ? Je vous répondrai que cela me rassure d'avoir
un auditoire tant soucieux de la bonne marche de cet exposé.
Comme
tous les êtres vivants le Shadok a sa fierté. Et ne l'insultons
pas en lui affligeant une calvitie. D'autant
plus que pour le papier (ou le calque dans le cas des gogols) le Shadok
est un nouveau-né.
Finalement (et oui les meilleurs choses ont une fin), le Shadok doit pouvoir bouger, sauter, tenir, marcher (sur les mains ou non)... Bref il lui faut des bras, des jambes. Et c'est la condition nécessaire et suffisante pour que votre Shadock soit un Shadock, un vrai.
Fier de cet exploit, votre satisfaction ne saurait être mesurée et vous vous dites dans votre profond moi-même: "Faut que j'aille faire un footing !". Le problème c'est qu'il pleut... alors bon... moi j'suis pas trop chaud... J'vais plutôt aller me mater la télé. |